La « mythologie » romaine : la fabuleuses

La « mythologie » romaine : la fabuleuses

La presence d’une mythologie romaine en dehors de la mythologie grecque fait debat depuis l’Antiquite

sentiment religieux romain (pietas) renvoie donc a la volonte robusto de garantir le succes a respublica par le respect scrupuleux des religio, de ses cultes, de ses rites, de sa tradition, observance in questo luogo permet d’obtenir la faveur des dieux et de garantir la pax deum (pax deorum) .

“. mais c’est dans le sentiment religieux et dans l’observance du culte et aussi dans cette sagesse exceptionnelle qua nous verso fait pleinement comprendre que tout oriente juste et regi par la volonte divine, que nous avons depasse tous les peuples et toutes les nations .”

“Et sinon conferre volumus nostra cum externis, ceteris fastidio aut pares aut etiam loweres reperiemur, religion, id est cultu deorum, multo superiores.”

“Et si nous voulons comparer notre culture avec celle des populations etrangeres, il s’averera que nous sommes identiques ou meme inferieurs a tous les autres egards, melica que nous sommes bien superieurs en ce qui concerne la religion, c’est-a-celebrare le culte des dieux.”

Le rheteur grec Dionysos d’Halicarnasse (1er siecle incessamment JC) per nie cette possibilite en attribuant a Romulus, fondateur de la ville de Rome, l’intention expresse d’annuler tout conte mythique qui attribuait aux dieux la mauvaise conduite des hommes :

«Il verso censure tous ces mythes ora se transmettent sur les dieux, dans lesquels il y avait des offenses et des accusations contre eux, les considerant comme impies, nuisibles, offensants et indignes des dieux ou meme des hommes justes. Il prescrit aussi que les hommes pensent et parlent des dieux de la maniere la plus respectueuse possible, en evitant de leur attribuer une pratique indigne de leur nature divine. En effet, chez les Romains il n’est pas dit qu’Uranus per ete emascule par ses enfants ni que Cronos verso massacre ses enfants de peur d’etre detrone, que Zeus a mis fin a la suprematie de Cronos, in questo momento etait cri pere, en l’enfermant dans le Les prisons tartares, pas meme les guerres ne sont racontees, ni les blessures, ni les alliances, ni leur servitude avec les hommes. »

Une telle harmonie avec les dieux determinee par l’observation scrupuleuse de la religio et de ses rites est atteste, pour les Romains, par le succes de Rome vis-a-vis d’autres villes et dans le monde

De meme le philologue allemand Georg Wissowa et le savant allemand Carl Koch ils ont repandu a l’epoque moderne l’idee que les Romains n’avaient pas a l’origine leur propre mythologie. Contrairement au philologue francais Georges Dumezil dans divers ouvrages traitant de la religion romaine il a plutot envisage de considerer la presence d’une mythologie latine et donc romaine comme insecable heritage direct de la mythologie indo-europeenne, comme la mythologie vedique ou scandinave, par la suite le contact avec la culture religieuse et mythologique grecque aurait fait oublier aux Romains ces mythes mythiques. contes bases sur la transmission della bocca. L’historien italien des religions Angelo Brelich il a decide d’identifier une mythologie propre aux Latins in questo luogo, bien que depourvue de richesse comme la grecque, n’en levante pas moins une partie authentique et inesperto de ce peuple. L’historien italien des religions Dario Sabbatucci il reprend en effet les conclusions de Koch lorsqu’il identifie deux peuples chez les Romains et les Egyptiens qui ont concentre le contenu « mythique » dans le « rite » religieux en n’en extrayant pas, contrairement aux Grecs, le recit mythologique. Plus recemment, l’historien neerlandais des religions Jan Nicolas Bremmer estime que les peuples indo-europeens et donc d’heritage indo-europeen, y compris les Latins et les Romains, n’ont jamais possede de recits theogoniques et cosmogoniques que sous une forme absolument rudimentaire, la particularite de la mythologie grecque reside donc dans le fait qu’ils ont ete elabore sur l’empreinte de ceux appartenant aux anciennes civilisations orientales. De meme Marie Pain il critique les conclusions de Dumezil sur la presence d’une mythologie indo-europeenne, liee a l’ideologie tripartite, egalement presente dans la Rome archaique.

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